1. |
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Ses promesses sur la tempe, son corps sur la détente,
J’aurais bien voulu m’envoler
La chasse est ouverte
J’ai du plomb plein les ailes
Je n’en ai que pour elle,
Ah... Je n’en ai que pour elle... pour rien
Sous mon plumage d’insoumis
Les sutures de mes espoirs trahis
Une fois guéri j’arriverai à m’envoler loin du sentier
Le sentier des amours cassés
Le sentier des amours cassés
Jamais je n’y retournerai
Le sentier des amours cassés
Jamais j’n’y retournerai
Castrer le décor, vouloir réveiller les morts pour les faire parler
Ériger l’écart, ruer l’air et les brancards, enfin, respirer
Endiguer le mauvais sort, enterrer le corbillard plein à craquer
Plastrer les renforts, Repriser l’dedans/dehors,
Remplir les tranchées
Jamais je ne t’oublierai
Sous mon plumage d’insoumis
Les sutures de mes espoirs trahis
Une fois guéri j’arriverai à m’envoler loin du sentier des amours cassés et
Je n’y reviendrai plus
Je n’y reviendrai plus
Sous mon plumage d’insoumis
Les sutures de mes espoirs trahis
Une fois guéri j’arriverai à m’envoler loin du sentier des amours cassés
Sous mon plumage d’insoumis
Les sutures de mes espoirs trahis
Une fois guéri j’arriverai à m’envoler loin du sentier des amours cassés
Non jamais je ne reviendrai
Dans le sentier des amours cassés
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2. |
Chat de gouttière
02:56
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J’ai plongé dans le vide à faire
En ces airs de chat de gouttière
Pousser à jouer le jeu pour tomber sur les 4 en moins de deux
L’apogée des soifs atomiques
et l’empire des engourdies
J’lance mes angoisses au feu, le temps d’bruler mon blues encore un peu
J’sens la distorsion, je lève le son et j’hallucine
J’sens la distorsion qui me sublime le corps et la raison
La vacuité des sans-façons
La vacuité télévision
Les aristocrates au balcon
Les autres se prélassent au salon
La vacuité du cœur
Le silence fait du bruit, le bruit fait du silence
Le discours des vautours médisant l’inconnu
Charognards émérites de la haine sans issues
Dissonant, désolant, délirant
Désolé, mais j’ai le plaisir de vous que vous ne m’aurez pas
La vacuité des sans-façons
La vacuité télévision
Les aristocrates au balcon
Les autres se prélassent au salon
La vacuité du cœur
La vacuité des sans-façons
La vacuité télévision
Les aristocrates au balcon
Les autres se prélassent au salon
La vacuité du cœur
La vacuité du cœur
Est sans pression
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3. |
Au nom des tabous
04:38
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Tout d’un coup le temps souffle à s’en rompre le cou
Me joue son répertoire d’envies, de bruit et d’amour
Me sifflant à l’oreille de faire autrement
Le vent s’étend dans mes vertiges
En voyage au creux de mes soupirs
Suis-je fait pour rester dans le rang?
Changer les fenêtres embuées dans ma tête et enfin voir mes rêves les plus fous
J’te trouv’rai au levé des attentes
Et on va s’aimer au nom des tabous
Tout d’un coup les mots enveniment le doute
Mais la quête de sens me sert ses plus beaux discours
Me sifflant à l’oreille de faire autrement
Le vent s’étend dans mes vertiges
En voyage au creux de mes soupirs
Suis-je fait pour rester dans le rang?
Changer les fenêtres embuées dans ma tête et enfin voir mes rêves les plus fous
J’te trouv’rai au levé des attentes
Et on va s’aimer au nom des tabous
L’air est moins lourd pour les enfants et les ballons
Viens, on va s’élever ensemble
Pour se retrouver
Se retrouver
Le vent s’étend dans mes vertiges
En voyage au creux de mes soupirs
Suis-je fait pour rester dans le rang?
Changer les fenêtres embuées dans ma tête et enfin voir mes rêves les plus fous
J’te trouv’rai au levé des attentes
Et on va s’aimer au nom des tabous
Au nom des tabous
Au nom des tabous
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4. |
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Tu chevauches le faisceau de lumière
Qui me caresse le coin de l’âme
T’envahis mon exosquelette, mon espace dépouillé d’ses armes
T’étourdis mes défenses, t’accélères le tambour
Camouflant les rumeurs du compte à rebours
Ton feu sur mon cœur, mon coeur d’asphalte
Consume mes peurs et chavire mes ancrages
Tu fais fondre l’hiver de mon désert en cage
J’ai fréquenté les méandres
De l’obscurité complète
Les fantômes ont eu les dents longues
Et m’ont oublié sur une tablette
J’ai fortifié mes défenses et rangé le tambour
Mais comme le soleil à l’aube, t’as rallumé le jour
Ton feu sur mon cœur, mon coeur d’asphalte
Consume mes peurs et chavire mes ancrages
Tu fais fondre l’hiver de mon désert en cage
Tu fais fondre l’hiver de mon désert en cage
Ton feu sur mon cœur, mon coeur d’asphalte
Consume mes peurs et chavire mes ancrages
Ton feu sur mon cœur, mon coeur d’asphalte
Consume mes peurs et chavire mes ancrages
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5. |
Le diamant
05:06
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Esseulé dans la fosse, enseveli
Plus rien à perdre, encore moins à rire ou si peu
Quand le verbe ne trouve que la honte
Certains entendent mais trop peu écoutent et tu tombes
J’entends tout bas le monde en éclat
Le silence résonne sous les faux pas
Mais tu existes
Et tu scintilles encore
Le miroir te brise, te punit
Ton reflet te fuit pour creuser la peine dans tes yeux
Le moi en lambeau, meurtri
La plaie est vive et tarde à guérir
Tout s’effondre
J’entends tout bas le monde en éclat
Le silence résonne sous les faux pas
Mais tu existes
Et tu scintilles encore.
J’entends tout bas le monde en éclat
Le silence résonne sous les faux pas
Mais tu existes
Dompter la nuit
Combler le vide
Dresser l’échine
Trouver ta vie
J’entends tout bas le monde en éclat
Le silence résonne sous les faux pas
Mais tu existes
Et tu scintilles plus fort
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Les Trimpes Quebec, Québec
Ayant parcouru les routes du Québec et de la France depuis 2015, Les Trimpes sont de retour avec Enterrer la bête, un EP de 5 chansons qui s’inscrit dans la plus pure tradition du blues rock Keb’ franco! Le EP marque un nouveau départ pour le groupe de Québec, mais on y retrouve leur signature sonore énergique et super rythmée, donnant l’envie de sauter et de s’abandonner. ... more
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